En fin d’après-midi, quelque uns d’entre nous sommes allés rejoindre les étudiants étrangers et leurs soutiens
devant la préfecture de Maine-et-Loire.
Ce fut aussi pour nous l’occasion de croiser certain-e-s
de nos soutiens ainsi que de faire quelques
nouvelles rencontres.
Certain-e-s d’entre nous ont également découvert la situation de Djelika, (étudiante malienne à la fac de Droit, économie et gestion à l’Université d’Angers) et de la famille de Boris (ancien élève du lycéen au lycée Henri Dunant), sur qui la préfecture du Maine-et-Loire s’était acharnée l’année dernière.
La raison de notre présence est simple : la Solidarité avec toutes celles et tous ceux
que les institutions considèrent à tort comme « indésirables ».
Ne voulant pas tomber dans le « racolage militant » ni même diluer les propos de RUSF, nous sommes venus sans aucun tract ni autre matériel de diffusion.
Sur la fin de ce rassemblement, un temps de parole au mégaphone nous est proposé. Nous résumons alors rapidement notre situation : avec l’assignation du Village au Tribunal d’instance lundi prochain, la mairie d’Angers nous plonge dans la confrontation.
Pourquoi ?…